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CONCOURS DE LA CORRESPONDANCE SEMAINE SEIZE


Avant dernière semaine pour prendre la plume et écrire une lettre à Françoise Chandernagor. Elle a été l’invitée de notre quatrième édition du concours de la correspondance pendant ses quatre mois écoulés. Elle possède un lien indéfectible avec notre île. Celui de son grand-père, enfant d’une famille d’engagé qui s’est retrouvé à l’âge de neuf ans, affranchi et exilé dans le Cher en métropole. Ayant reçu comme surnom « Bengale », il fut baptisé et nommé Charles François Chandernagor avant de devenir cuisinier au Château de Bussy Castelnau.

L’écrivaine porte le nom de son grand-père.

L’auteur est aussi membre de l’académie Goncourt depuis 1995. En janvier dernier, elle aurait pu devenir présidente de cette fondation créée en 1919 par Alphonse Daudet sur les cendres des frères Jules et Edmond Goncourt. Ce fut Didier Decoin un autre écrivain qui fut élu en lieu et place de Bernard Pivot parti à la retraite. Cette société littéraire « d’utilité publique » a été présidé jusqu’à ce jour que par deux femmes : Colette de 1949 à 1954 et Edmonde Charles-Roux de 2002 à 2014.

Françoise Chandernagor qui écrivait « peut-être trouve-t-on plus de bonheur dans les lieux que dans les êtres » a travaillé à l’amorce de cette quatrième édition. « Je ne suis jamais venue à La Réunion » révèle-t-elle « de l’océan Indien, je ne connais qu’un bref séjour à l’île Maurice. Aujourd’hui l’actualité ne s’y prête pas pour des longs voyages ».

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